L’aventure continue à Vibrac. Après le succès des épisodes précédents proposés par le collectif des habitants et des associations du village, dimanche 26 mars à 15 heures, près de la piscine de la Pimperade, un nouveau spectacle est proposé par l’association Créer la Garenne. Il s’agit d’un conte musical…
L’aventure continue à Vibrac. Après le succès des épisodes précédents proposés par le collectif des habitants et des associations du village, dimanche 26 mars à 15 heures, près de la piscine de la Pimperade, un nouveau spectacle est proposé par l’association Créer la Garenne. Il s’agit d’un conte musical interprété par Léa Quinson, de la compagnie Dakatchiz, et le violoncelliste Sylvain Meillan, interprète, compositeur, improvisateur, et depuis cette année professeur à l’École des arts de Haute-Saintonge.
L’épisode précédent, en février, était un bal trad très apprécié, la petite salle des fêtes était comble. « L’ambiance était très bonne, on a beaucoup guinché. Il y avait des gens qui savent danser et d’autres, qui ne savaient pas, ont eu une initiation au début », se souvient Sylvain Meillan. Loin des polkas, mazurkas et scottishs, dimanche, Léa Quinson et Sylvain Meillan inviteront à s’immerger dans l’univers plus intimiste d’un conte des Mille et une nuits, « Les Amours du prince Kamar Al Zamann et de la princesse de Badoure ».
Ambiance orientale
« ‘Les Mille et une nuits’ est un livre de Perse ancienne, tentaculaire, avec de nombreuses traductions. Léa va lire un des contes et je l’accompagne avec une gadulka, un violon bulgare, et quelques percussions, comme un grand daf ou un tambourin à sonnailles, pour rendre l’ambiance orientale. Pas du tout de violoncelle », explique Sylvain.
Lui et Léa ont créé ce conte musical il y a deux ans, à la fin de l’été. C’est la première fois qu’ils font ensemble un spectacle de A à Z, mais il arrive à Sylvain d’aider Léa dans les parties musicales de ses nombreux projets, avec Dakatchiz, ou l’inverse. « Léa a toujours un livre de contes avec elle comme livre de chevet. Selon les terroirs et les pays, c’est d’une grande richesse. Mais on ne peut pas toujours être dans la création de choses nouvelles », précise le musicien.
Ils ont toujours joué « Les Amours du prince Kamar Al Zamann et de la princesse de Badoure » dans de beaux lieux, dans la nature ou dans une yourte. S’il fait beau dimanche, ils vont choisir un coin de verdure près de la piscine de la Pimperade, sinon tout le monde se retrouvera à la salle des fêtes.
Pour tous les âges
Le conte n’est pas spécialement dédié aux enfants, plutôt pour tous les âges. Dans les contes, chacun peut imaginer et ressentir ce qu’il veut. Dans l’histoire, la princesse est assez émancipée et le spectateur se lance dans l’aventure de la quête amoureuse des jeunes héros : ils se rencontrent, traversent le monde, se perdent, se retrouvent…
Pour la partie musicale, Sylvain Meillan n’a pas forcément choisi de la musique iranienne. Il jouera ses propres compositions, et deux pièces de musique ottomane découvertes en travaillant la musique grecque. « Je veux que la musique évoque un Orient, un ailleurs, qu’elle ouvre sur cet ailleurs », ajoute l’instrumentiste.
Pour retrouver le violoncelliste, il faudra attendre le mois de mai, il donnera un récital allant de la musique baroque à celle du XXIe siècle.
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